Le projet Osmi a une origine, il est l’agrégation de plusieurs parcours de vie qui se sont rejoints avec l’objectif de faire advenir une société coopérative capable de relever les défis de notre civilisation pour être sur une planète encore vivable à horizon 2100.
Les vikings s’aggloméraient autour du leader compétent de l’instant pour une expédition et vivaient ensuite en bons voisins, sans hiérarchie.
Les vikings s’aggloméraient autour du leader compétent de l’instant pour une expédition et vivaient ensuite en bons voisins, sans hiérarchie.
Chez le loup, le mâle Alpha synchronise la chasse. Or c’est plus la femelle qui inspire la Meute dans les grandes décisions comme par exemple changer de territoire. Elle capte, elle pense long terme, protection car au contact proche de ses plus jeunes.
Dans une meute, nous prenons également soin les uns des autres. Pourquoi ? Toujours par ce sens du groupe qui fait que la communauté peut avoir à un moment besoin de chacun, que l’Ancien a un savoir à transmettre aux plus jeunes.
A horizon 2100, si l’on se réfère aux scientifiques indépendants, la France sera au moins sèche sinon désertique, des centaines de millions de personnes auront migré ou pour celles encore vivantes survivront dans des contextes climatiques très difficiles.
La crise sanitaire en a fait réfléchir certains sur ces sujets. Ils se sont rencontrés dans des bars restés ouverts, dans des granges voire des caves et ont commencé à parler. Guillaume Reffay parle de “la civilisation qui pousse”.
A travers ce livre, découvrez la genèse du projet Osmi, une petite abeille qui fonctionne en intelligence collective et comment l’auteur propose de faire advenir une société coopérative capable de relever les défis de notre civilisation aujourd’hui.
Guillaume Reffay pour réaliser son grand rêve est devenu coach pour entrepreneurs. Longtemps au contact de meutes de chiens de traîneau, il s’ inspire de leurs enseignements sur le sens du groupe pour accompagner la création et la transformation d’entreprises engagées vers cette démarche d’une planète encore vivable en 2100.
« Nul ne peut m’empêcher l’herbe de transpercer le macadam lorsqu’elle a trouvé la lumière »
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